Notre rapport au juste-dépassé est passionnellement excessif. Bien plus tard, seulement, nous nous montrons capables d’intégrer le dépassé à notre récit. Il reste à dépasser… le dépassement.
Faute d’y parvenir, le dépasseur erre parmi les bocaux de formol, n’y trouvant rien qui n’ait déjà été dépassé. Le dépassisme, comme l’originalisme, est une maladie chronique.