Être suffisamment cynique pour ne pas avancer bêtement en direction des mirages de choses, mais ne pas s’adonner au cynisme opportun du fainéant et du lâche — voilà le fin fil qu’il te faudra tisser, puis marcher jusqu’à tes amis, jusqu’à la lumière, voire jusqu’au lieu où nous nous sommes rencontrés.
Le cynisme est toujours protecteur.
Mais faute de complément, il finit toujours par te livrer au cosmos, qu’il ne t’aide pas à changer.