L’hyperville d’André Corboz est une ville dépouillée de son hiérarchie. Une ville qui se laisse lire dans n’importe quel sens.
— Comme l’hypertexte, l’hyperville est accessible de diverses façons ; on y entre, on en sort par une multitude de points — du moins si l’on peut encore parler d’entrée et de sortie -; on y circule également par des itinéraires extrêmement variés, du moment que les activités y sont dispersées, et surtout : il n’y a pas de centre, un centre, mais des polarités.
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