La censure est d’abord le fait du vacarme médiatique et techno-marchand, qui interdit à tout auteur de faire valoir la patiente complexité d’une pensée.
La censure est le fait de la marchandisation de l’expression, administrée par des instances de pouvoir obsédées par l’occupation des espaces publics, employés au vomissement quotidien d’une actualité préfabriquée, en vue d’une extension de leur capital symbolique et économique.