— Messager ne te presse pas de délivrer ton message. Réfléchis jusqu’à demain. Il serait encore mieux, d’ailleurs, que tu le laisses reposer dix ou quinze ans.
Ivan Divis sur la véranda de sa maison de village écrit l’an 1963.
K., le destinataire du message impérial patiente à sa fenêtre ouverte sur la nuit de la mégapole. L’important n’est pas de le recevoir mais de savoir qu’il existe quelque part et qu’il t’est destiné.