Très tôt après n’importe quel départ, l’idée d’un retour se fait obsédante. Quelle part de nos heures éveillées passons-nous à retourner quelque part ?
Très tôt après n’importe quel départ, l’idée d’un retour se fait obsédante. Quelle part de nos heures éveillées passons-nous à retourner quelque part ?