Parfois, le grondement du fleuve est tellement fort, la vie si exubérante, que l’on s’y perd et ceci est la part joyeuse et festoyante. Mais cela, aussi, dépend des circonstances. Il est possible de s’enliser dans l’exubérance ; alors chacun essaie de tracer son chemin droit, mais beaucoup de chemins droits sont eux aussi des lits profonds et c’est là toute la complexité de l’enlisement et du désenlisement de la vie.