L’explosion démographique fit ressentir à l’humanité le besoin d’hyperorganisation. Les totalitarismes du 20e siècle en naissent. Ce besoin est désormais satisfait par la computerisation, par l’ordonnancement électromécanique. L’hyperorganisateur se dépersonnalise sans se désincarner. Nous en sommes, par la syntaxe qui nous accorde et par les câbles qui la transportent.
L’enfance d’un chef de Brady Corbet suggère que ce besoin d’hyperorganisation est lié au manque. La participation à une métastructure fasciste, la consultation permanente du web, le gavage inquiet de nos multiples systèmes de messagerie pallie au sentiment de manque.
cf. normalisation