La laideur paradoxale de la Zwischenstadt s’explique par ses multiples tentatives de produire de la beauté. Incapable de se penser, incapable de s’imaginer dans une quelconque cohérence esthétique, elle emprunte, pille, couvre de laque et juxtapose. La laideur est sourde au murmure fragile du créateur insufflé dans la matière. Elle est sourde à ses propres voix. Cacophonie d’un orchestre d’égotiques. Bouillabaisse aux bonbons fraise et menthe.
