L’histoire ne peut pas être scindée en époques à moins de disposer d’un système de classification téléologique.
L’histoire et ses époques présupposent un sujet de sa narration, avec sa jeunesse, son âge mûr et sa vieillesse.
L’histoire se condamne elle-même, et ses époques.
L’humanité, pour échapper à l’identité du lieu, doit apprendre à lire son temps — à ‘se’ lire — sans chapitres.
cf.: finitude