L’histoire est une diachronisation du présent. Le produit d’un excès de paroles.
L’âme de l’Histoire est un esprit intégrateur au service du pouvoir, qu’elle justifie dans une logique de progrès. Elle assemble tout ce qui sera dans une tragicomédie péremptoire.
L’Histoire est non-démocratique. Une série de hauts faits qui n’appartient jamais à ceux qui subissent l’Histoire, bien qu’ils la nourrissent.
cf. œil