Tous les instruments de musique produits jusqu’au vingtième siècle ne sont peut-être qu’une tentative d’enregistrer le son des environnements humains. Ce processus d’apprentissage ne se parachève-t-il pas dans l’enregistrement technique ? La logique de l’auteur n’est-elle pas seule à insister encore sur la maîtrise d’un instrument, voire sur le talent musical ?
Si c’est le cas, le futur de la musique est le sampling.
Dans le processus d’enregistrement des réalités, le paysage est seul auteur.