La faiblesse est un manque de force, voire un manque de désir. Un état triste de l’existence. On méprise la faiblesse tout en s’y complaisant. C’est l’un des paradoxes du « on ». Il en dérive, parfois, une détestable injonction à la faiblesse qui ennuie le faible par sa condescendance et qui nuit au puissant.