Le christianisme à sa naissance était un instrument de liberté de la pensée et des humains vivant en communauté.
Sous la supervision des Romains, le christianisme est devenu un instrument de l’oppression au profit de l’empereur. Un opium de bondieuserie pour les stupides, une manière de diriger les esclaves contre ceux qui, dans leurs rangs, refusaient d’être esclaves comme eux.
Déconstruire le christianisme depuis l’intérieur fut la dernière option des libres. Ils ont réussi. Il a fallu pour ça affiner leur intelligence. Le christianisme n’est plus qu’une parodie ; un folklore ridicule d’Américaines peroxydées et de leurs hommes grossiers. Mais tellement de résidus de l’esprit d’oppression impérial romain restent dans la pensée ambiante des anciens empires chrétiens ! Et il est difficile d’en démêler la part de liberté que proposaient les premières communautés chrétiennes.