L’existence, comme le capitalisme, a besoin d’un dehors. Rosa Luxemburg décrivait ce dehors comme une zone de non-capitalisme, où les gens achètent les biens produits à l’intérieur.
Pour l’existence, le dehors est une zone de chaos fécond à venir. Pour le capitalisme, c’est une région d’investissement. Tous deux domestiquent le dehors, se mettant soi-même en péril.
Le monde du dehors ne reflète que l’état du monde intérieur. Le monde que tu vois est le résultat direct de ton âme.
cf. extérieur