J’ai reçu l’œil du cyclone en guise de lieu.
Pour survivre, je vérifie chaque jour en quoi le monde accélère, jusqu’où il s’étend, de quelles dimensions nouvelles il s’est doté — puis je m’en nomme le centre.
Autour de moi tourne le vertige des ailleurs puis tombe dans l’abyme du temps. Je suis le prolongement de sa chute.