Le défaut du militantisme, c’est que l’on ne milite qu’en sachant qu’on a raison, et lorsqu’on le sait, on ne pense plus. L’adjectif « bien-pensant » colle au cul du militant, fantassin hargneux de la doxa de son groupe.
Mais que faire d’autre que militer face à une doxa plus affreuse encore ?
cf. prosélytisme, flicaille