La fatigue, les tâches, les défaites, tout cela n’est rien — on l’a prouvé — qu’un trouble chimique de ton cerveau épuisé, un apogée de la courbe sinusoïdale de la tristesse.
Mais tu vois ce poème, cet arbre, ce mouvement de foule, et tu sais que toute raison qui oeuvre à les mettre en ordre ne saura te vider ni de ton âme ni de ses cris.