L’analogie arraisonne le monde. Elle le structure en sens, mais ne l’enrichit pas.
L’art ne peut pas se satisfaire de fournir des métaphores et des éclairages : il nous faut de l’hypothétique, du contrefactuel, de l’ailleurs, des réalités possibles dotées de leurs propres lois et règles. Le monde ne ne s’accroît que dans le non-encore espace des logiques autres.
cf. isotopie